Tout sur le SPM DOWN

 

Introduction : petit rappel sur le cycle menstruel

Le cycle menstruel est le terme scientifique qui décrit l’ensemble des phénomènes physiologiques qui préparent chaque mois le corps de la femme à une grossesse. Ce cycle est régulé par plusieurs hormones dont les taux vont varier : 

• LH (Hormone Lutéinisante)
• FSH (Hormone Folliculo-Stimulante)
• Œstrogène 
• Progestérone

Les variations de ces hormones au cours du mois induisent la maturation et l’expulsion d’un ovocyte par l’ovaire (ovulation), ainsi que l'épaississement de la muqueuse utérine (endomètre).
Le terme cycle implique que le premier jour des règles (menstruation) soit le début d'un nouveau cycle et peut durer de 25 à 36 jours selon la femme. Les menstruations commencent à la puberté (ménarche) et se terminent de façon définitive avec la ménopause, se produisant en moyenne aux alentours des 50 ans.

Qu'est-ce que le SPM ?

Le syndrome prémenstruel, ou SPM, est un compagnon indésirable de nombreuses femmes pendant la période qui précède leurs règles. Ce phénomène se manifeste par un ensemble de symptômes variés qui peuvent perturber la vie quotidienne de ces dames. Du côté des coupables, ce sont les hormones qui jouent des tours, provoquant ce que certains pourraient appeler un chaos hormonal. C’est dans la phase lutéale, après le quatorzième jour du cycle, que le SPM a le plus de chance de se manifester. 
Une anomalie de sécrétion de la progestérone ou des œstrogènes provoquera alors un déséquilibre du rapport œstrogènes/progestérone, à l’origine du SPM. 
On peut également avoir un déséquilibre dans la sécrétion de prolactine à cause d’un trouble de l’axe hypothalamo-hypophysaire. 3 cas de figures principaux sont alors possibles :

• Une hyperoestrogénie, à savoir un excès d’œstrogènes 
• Une hyperprolactinémie, à savoir un excès de prolactine
• Une hyperprogestéronémie, à savoir un excès de progestérone

Le SPM est une réalité vécue par de nombreuses femmes à travers le monde. Certaines le vivent sans trop de soucis, tandis que d'autres peuvent se retrouver face à une montagne russe émotionnelle durant cette période.
Le SPM survient en général avant les règles et disparaît après leur arrivée. Bon ça reste de la théorie mais normalement, il dure de 2 à 15 jours; et si vos n'êtes pas chanceuses, il peut se prolonger jusqu'à trois semaines après les règles.
Le SPM peut se manifester de diverses manières et les symptômes du SPM sont variés, allant des sautes d'humeur fréquentes aux crampes abdominales, en passant par les envies soudaines de chocolat (et qui peut les blâmer pour ça, n'est-ce pas ?). Certaines se sentent aussi fatiguées, irritables, ou font face à des maux de tête. Les symptômes peuvent varier d'une femme à l'autre, et même d'un cycle menstruel à un autre. 
De plus, certains facteurs peuvent venir aggraver ces troubles (et oui il faut rester sur ses gardes !). Parmi eux on retrouve le tabac, le stress, les carences nutritionnelles et encore bien d'autres!
Face à ces symptômes, certaines femmes se demandent si elles devraient simplement accepter leur sort ou chercher des moyens de soulager ces désagréments.
Laissez moi vous dire qu'il existe des solutions, et l'une d'entre elles s'appelle le SPM DOWN.

Qu'est-ce que le SPM DOWN ?

Le SPM DOWN, c'est LE complément alimentaire conçu spécialement pour venir à la rescousse de celles qui souffrent du fameux SPM. Et devinez quoi ? Il est 100% naturel ! C'est un allié plein de principes actifs naturels, et sa formulation a été pensée avec soin pour s'attaquer de front aux principaux symptômes prémenstruels. Nous avons passé des heures, des jours, et peut-être même des siècles (bon, j'exagère un peu) à chercher les ingrédients les plus efficaces pour vous soulager. Il va agir notamment sur:

• Les troubles de l'humeur liée à la baisse de sérotonine
• Les troubles du sommeil liés à la baisse de la sérotonine et donc de la mélatonine. Et si vous ne comprenez pas le lien entre les deux, je vous laisse allez jeter un coup d'œil à cet article qui vous expliquera en détail comment avoir un sommeil de bébé.
• Les douleurs mammaires, aussi appelées mastodynies, liés à l'hyperprolactinémie (vous savez la prolactine, cette hormone responsable du gonflement des seins lors de la grossesse et de l'allaitement!)
• La rétention d'eau liée à l'hyperœstrogénie 
• Les douleurs pelviennes liées à l'hyperœstrogénie 
• Les troubles du comportement frénétique (quand tu vas dévorer tout ce qu'il y a dans tes placards) liées à la baisse de sérotonine. 

Quels sont ses composants et comment agit-il ?

La vitamine B6

Derrière le terme de vitamine B6 se cache 6 formes, chez les mammifères, mais la forme biologiquement active est le phosphate de pyridoxal (ou pyridoxal-5-phosphate). Dans tous les cas, la vitamine B6 est nécessaire à la synthèse des neurotransmetteurs sérotonine, norépinéphrine, épinéphrine (adrénaline) et l’acide γ-aminobutyrique (GABA) [1]. La vitamine B6 est ce qu'on appelle un "cofacteur", c'est une petite molécule qui est importante dans certaines réactions chimiques de votre corps.
Et qu'est-ce que ces neurotransmetteurs ont à voir avec le SPM ? Si vous vous sentez parfois comme une montagne russe émotionnelle pendant cette période tumultueuse du mois, c'est peut-être parce que ces neurotransmetteurs jouent aux montagnes russes eux-mêmes. Les troubles de l'humeur, les sautes d'humeur, les envies soudaines de pleurer devant une publicité pour des chats mignons (on a toutes été là), tout cela pourrait être en partie le résultat de déficiences en ces neurotransmetteurs.

Le gattilier (de son nom latin Vitex agnus-castus)

J'ai une plante étonnante à vous présenter : le gattilier ! Les femmes l'ont utilisée depuis des années pour soulager les troubles menstruels [2], et croyez-moi, elle est devenue leur alliée préférée !
Le gattilier dispose d’une allégation de santé, en attente, en lien avec le cycle menstruel : Aide à maintenir un bon confort avant et pendant le cycle menstruel.
Son mécanisme d’action exact n’est pas entièrement connu mais il a été démontré qu'il a un effet dopaminergique (en d'autres termes, il stimule la production de dopamine, notre fameuse hormone du bonheur) induisant une diminution de la libération de prolactine [3,4]. La prolactine est une des causes de symptômes du syndrome prémenstruel tel que les douleurs mammaires.
Le gattilier permet également d’augmenter les taux de progestérone. Un mécanisme d'action proposé est qu'il provoque une diminution de la prolactine, ce qui entraîne une inversion de la suppression de la LH permettant le développement complet du corps jaune, augmentant les niveaux de progestérone et réduisant les symptômes du syndrome prémenstruel [5].
Le gattilier possède également des actions modulatrices des récepteurs aux opioïdes [6], qui sont responsables de la régulation de la perception, la douleur, l'humeur ou encore l'appétit.

L'Actée à grappes (de son nom latin Actes racemosa)

D’un point de vue juridique, l’Actée à grappes ne dispose pas d’allégations de santé en lien avec le cycle menstruel mais avec la ménopause où il est mentionné que cette plante aide les femmes à faire face aux signes révélateurs associés à la ménopause, comme les bouffées de chaleur, la transpiration, l'agitation et l'irritabilité.
Cette plante a été bien étudiée au niveau de ses composants, notamment au niveau du rhizome (la tige si vous préférez). Les principaux constituants sont les glycosides triterpéniques, les phénols, les flavonoïdes et les alcaloïdes, etc. 
Il a été suggéré que cette plante agisse comme un modulateur sélectif des récepteurs aux œstrogènes, puisque selon les études il a été mis en avant une action agoniste (dont l'action va dans le même sens) des œstrogènes [7 - 9] et une action antagoniste (en opposition donc) des œstrogènes [10, 11]. L’action agoniste ou antagoniste dépendait des tissus étudiés. 
Un comité d'experts, la Commission E, qui a évalué, en 1978 ; l'innocuité (caractère de ce qui n'est pas toxique, nocif) et l'efficacité de plus de 300 herbes et combinaisons d'herbes vendues en Allemagne a approuvé l'utilisation de l'Actée à grappes noires pour le traitement de l'inconfort prémenstruel, de la dysménorrhée [12, 13].

Le chardon Marie (de son nom latin Sylibum marianum)

Les ingrédients actifs du chardon-Marie sont un extrait lipophile (il va avoir une forte affinité avec les graisses) des graines de la plante et est composé de trois flavonolignanes (qui appartiennent aussi à la famille des polyphénols) isomères collectivement connus sous le nom de silymarine [14].  
Le chardon-Marie dispose de plusieurs allégations de santé, en attente :

• Le chardon-marie soutient la santé du foie 
• Utile pour maintenir les fonctions physiologiques de drainage hépatique.

Le foie est la tour de contrôle métabolique de la fonction de détoxification (c'est-à-dire l'élimination des déchets du corps). Parmi les nombreuses substances métabolisées par ce cher organe, les œstrogènes n’échappent à la règle [15].
Une hausse des œstrogènes, si elle survient, demandera plus d’effort au foie pour être métabolisé. D’autant plus que les niveaux d’œstrogènes ont été liés à la sévérité du syndrome prémenstruel [16]. C’est pour soutenir le foie que le chardon-Marie a été inclus dans la formulation du SPM Down. 

Le Pin maritime (de son nom latin Pinus pinaster)

Extrait labellisé par Pycnogenol® contenant un principe actif extrait à 100% de l’écorce du pin maritime des landes. Il contient des oligo-proanthocyanidines (OPC). Ces OPC, ce sont des membres de la grande famille des flavonoïdes, des polyphénols retrouvés dans les plantes. Bien que sur le plan juridique Pinus pinaster ne dispose pas d’allégations de santé en lien avec le cycle menstruel, il contribue à maintenir une bonne santé en protégeant les cellules et les tissus grâce à ses propriétés antioxydantes.
De nombreuses études cliniques ont également révélé que Pycnogenol® atténuait les désagréments du SPM en soulageant crampes et ballonnements [17]. Par ailleurs, Pycnogenol® inhibe les prostaglandines et joue donc sur les processus inflammatoires. Il agit en régulant les enzymes qui synthétisent les prostaglandines, en particulier en réduisant l'expression de l'enzyme COX-1 et COX-2, impliquées dans la production de prostaglandines pro-inflammatoires [18]. 
Sa qualité et ses diverses recherches scientifiques ont été une évidence pour inclure cet ingrédient au sein du SPM DOWN.

L'achillée millefeuille (de son nom latin Achillea millefollium)

Une allégation de santé, toujours en attente, va dans le sens du SPM DOWN : Chez les femmes, apaise les crampes abdominales périodiques.
Dans la littérature, on retrouve un essai clinique en double aveugle qui stipule que l’extrait d'Achillea millefolium peut réduire les symptômes du syndrome prémenstruel et l'intensité de la douleur [19]. Deux autres essais cliniques portant sur la dysménorrhée (des douleurs pelviennes survenant au moment des règles) ont montré une diminution de l’intensité de la douleur grâce à l’Achillée Millefeuille [20, 21].
L’action de l’Achillée Millefeuille est dite « progestérone-like » puisqu’elle mime l’action de la progestérone. Une autre de ses vertus concerne la digestion, qui peut être chamboulée pendant le cycle menstruel, on retrouve par ailleurs une allégation, en attente à ce niveau-là également : traditionnellement utilisé pour faciliter la digestion [22-25].

Alchémille (de son nom latin Achillea vulgaris)

Cette plante dispose d’allégations en attente dont une en lien avec le cycle menstruel : Aide à maintenir un bon confort avant et pendant le cycle menstruel.
Comme l’Achillée Millefeuille, l’Alchémille possède également une action « progestérone-like ». Cette plante est par ailleurs riche en tanins [26]. De plus, elle est qualifiée de « plante astringente », c’est-à-dire qu’elle possède une activité vasoconstrictrice, en outre, elle resserre les tissus. 

Huile de Bourrache BIO et d'Onagre

Pour l’huile de bourrache, sur le plan juridique, il n’existe pas d’allégations de santé en lien avec le syndrome prémenstruel. Toutefois, l’huile d’onagre dispose quant à elle d’une allégation de santé « en attente » : Fournit des acides gras polyinsaturés (PUFA), qui aident à maintenir un confort optimal pendant les menstruations.
L’huile d’onagre est riche en acide gamma-linolénique (GLA) [27] qui est un acide gras polyinsaturé de la famille des oméga-6. Cet acide gras est un précurseur, c’est-à-dire qu’il intervient dans la synthèse de molécules, en l’occurrence il permet la synthèse de certains eicosanoïdes dont les prostaglandines de type 1 (PG1). 
Dans l’organisme, il existe 3 types de prostaglandines :

• Type 1 : qui ont des activités faisant diminuer l’inflammation et la douleur. 
• Type 2 : qui ont des activités faisant augmenter l’inflammation [28]
• Type 3 : qui ont des activités diminuer l’inflammation [29]

En temps normal, l’activité des prostaglandines de type 2 est modérée par les prostaglandines de type 1 et de type 3. Mais, dans le cadre du SPM, une baisse de la synthèse des prostaglandines de type 1 serait responsable, en partie, des symptômes. Les femmes atteintes du syndrome prémenstruel peuvent être anormalement sensibles à des niveaux normaux de prolactine et ce phénomène peut être lié à de faibles niveaux de PG1 [30, 31].
D’autres données montrent qu’il y a un défaut de conversion de l’acide linoléique en GLA chez les femmes atteintes d’un syndrome prémenstruel [32]. Comme dit précédemment, le GLA est un précurseur des PG1, ainsi ce déficit serait dû à un dysfonctionnement d’une enzyme qui intervient dans la voie de biosynthèse de GLA [33].
Dès lors qu’il y a un apport de GLA, il y a une modulation de la synthèse de molécules pro-inflammatoires [34].
Bien que sur le plan juridique il n’est pas reconnu que l’huile de bourrache contienne des acides gras poly-insaturés, la science note que cette huile contient aussi des acides gras, notamment l’acide gamma-linolénique [35].
Dans le SPM Down, il est retrouvé du GLA :

L-tryptophane

Sur le plan juridique, les acides aminés ne sont pas reconnus comme des ingrédients actifs et ne disposent d’aucune allégation de santé. En revanche, heureusement que la science est là pour mettre en lumière son intérêt au sein de ce complément alimentaire. 
Cet acide aminé est un précurseur de la sérotonine, une hormone connue pour son rôle dans la régulation de l’humeur [36]. 
Lors du cycle menstruel de la femme, les taux de L-tryptophane peuvent varier, empêchant ainsi une synthèse suffisante de sérotonine, ce qui peut entraîner les troubles de l’humeur ressentis dans le SPM. Une prise de L-tryptophane diminue les changements d’humeur et l’irritabilité des femmes souffrant du SPM [37 - 39].

 À qui s’adresse-t-il et à qui ne s'adresse-t-il pas ?

La posologie

Questions fréquentes des clientes

A partir de quel-âge peut-on prendre le SPM DOWN ?
Théoriquement parlant, le SPM DOWN peut être pris dès l’apparition des premières règles si la jeune femme souffre déjà du SPM. Bien entendu, si la jeune femme est encore mineure, elle devra demander l’autorisation à son tuteur légal ainsi qu’à son médecin avant de le prendre.
Le SPM DOWN peut-il avoir un impact sur la régularité des règles ?
Si le SPM DOWN est pris au moment indiqué sur les conseils d’utilisation, non. De plus, il y a une multitude de facteurs qui peuvent bousculer un cycle menstruel : le stress, une maladie, une grossesse non annoncée … ainsi il est très compliqué d’émettre une quelconque corrélation entre la prise du complément et une modification négative dans la régularité des règles.
Y-a-t-il un risque si le SPM DOWN est pris en dehors de la période recommandée ?
Théoriquement, puisque certaines plantes contenues dans le SPM DOWN sont progesteron-like ou des phytooestrogènes, il y aurait possibilité que des fluctuations/modifications hormonales se passent également pendant ces périodes-là. Or, ce n’est pas le but. Néanmoins, aucune étude n’a révélé de modifications du cycle hormonal après l’utilisation d’un ou plusieurs des principes actifs contenus dans le SPM DOWN hors de la période recommandée.
Pourquoi le SPM DOWN ne peut pas être pris dans le cas d’un SOPK ?
Dans le SOPK, le taux de LH est souvent très élevé par rapport à la FSH. Dans cette situation le gattilier notamment, risque de conduire à une montée de LH et exacerber certains symptômes du syndrome.
Combien de temps, dois-je prendre le SPM DOWN ?
Une boîte de SPM DOWN correspond à 1 cycle. Il se prend donc en continu de l’ovulation jusqu’au début des règles (phase lutéale). Vous pouvez commencer à prendre le SPM Down dès vos premières règles, si vous souffrez de SPM et le continuer jusqu’à la période de ménopause. En revanche, si vous connaissez une période d’aménorrhée ou bien que vous attendez un enfant, il n’est pas nécessaire de prendre le SPM down à ces périodes mais vous pouvez le reprendre après. L’essai doit en revanche être de 3 mois minimum.
Quels sont les effets attendus ?
Les effets attendus suite à la prise du SPM DOWN (après 3 mois d’utilisation minimum) sont :
- Le soulagement des douleurs induites par les sites inflammatoires (douleurs pelviennes et mammaires)
- Ne plus être tributaire des sautes d’humeurs
- Réduire la rétention d’eau
- Avoir une meilleure régulation hormonale sur le long terme
- Réduire les flux hémorragiques (hors port de stérilet en cuivre)

Conclusion

Et voilà ! On arrive à la fin de cet article sur le SPM DOWN. Alors, on retient quoi de tout ça ?
Eh bien, le SPM, c'est un défi pour de nombreuses femmes, mais on n'a pas besoin de jouer les superwomen en silence. C'est le moment de prendre les choses en main et de découvrir la solution pour mieux vivre cette période du mois.
En comprenant les symptômes et les causes, notre équipe a développé SPM DOWN pour ouvrir la porte du bien-être. 
N'hésitez pas à partager cet article au plus grand nombre pour aider les femmes qui souffrent de SPM! Et si vous voulez retrouver les informations essentielles, je vous laisse aller sur ce post Instagram!

NB : cet article est à titre informatif et ne remplace pas l'avant d'un spécialiste de la santé.

Références : 
[1] Stover PJ, Field MS. Vitamin B-6. Adv Nutr. 2015 Jan 15;6(1):132-3
[2] Kamal N, Mio Asni NS, Rozlan INA, Mohd Azmi MAH, Mazlan NW, Mediani A, Baharum SN, Latip J, Assaw S, Edrada-Ebel RA. Traditional Medicinal Uses, Phytochemistry, Biological Properties, and Health Applications of Vitex sp. Plants (Basel). 2022 Jul 26;11(15):1944. 
[3] Jarry H, Leonhardt S, Gorkow C, Wuttke W. In vitro prolactin but not LH and FSH release is inhibited by compounds in extracts of Agnus castus: direct evidence for a dopaminergic principle by the dopamine receptor assay. Exp Clin Endocrinol. 1994;102(6):448-54.
[4] Sliutz G, Speiser P, Schultz AM, Spona J, Zeillinger R. Agnus castus extracts inhibit prolactin secretion of rat pituitary cells. Horm Metab Res. 1993 May;25(5):253-5.
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[8] Seidlová-Wuttke D, Jarry H, Becker T, Christoffel V, Wuttke W. Pharmacology of Cimicifuga racemosa extract BNO 1055 in rats: bone, fat and uterus. Maturitas. 2003 Mar 14;44 Suppl 1:S39-50.
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[12] Aviva Romm, Bevin Clare, Jill E Stansbury, Linda Ryan, Ruth Trickey, Laurel Lee, Angela J. Hywood, CHAPTER 5 - Menstrual Wellness and Menstrual Problems, Editor(s): Aviva Romm, Mary L. Hardy, Simon Mills, Botanical Medicine for Women's Health, Churchill Livingstone, 2010.
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[17] Site internet du label Pycnogenol® 
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[21] Farzaneh Ebrahimi Varzaneh; Fatemeh Nahidi; Faraz Mojab; Mohamad Amin Pourhoseingholi; Zahra Panahi. "The effect of hydro alcoholic extract of AchilleaMillefolium capsule on duration and severity of primary dysmenorrhea pain". The Iranian Journal of Obstetrics, Gynecology and Infertility, 20, 3, 2017, 48-86.
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